Les membres du "Groupe de Paix", amenés à expliquer leur démarche politique, ont précisé qu’ils sont entrés en Turquie le 19 octobre 2009, dans le but contribuer à la résolution de la question kurde ; en répondant à l’appel d’Abdullah Öcalan, leader du peuple kurde, Ils espèrent contribuer à débloquer le processus politique mis à mal par l’ingérence des autorités militaires turques et par les positions des principaux partis d’opposition. A la question du juge leur demandant s’ils regrettaient leur participation aux activités au sein du PKK, les "accusés" ont répondu par la négative et ont refusé par ailleurs de bénéficier de l’application de la loi sur le repentir.
 
Les membres du "Groupe de Paix", amenés à expliquer leur démarche politique, ont précisé qu’ils sont entrés en Turquie le 19 octobre 2009, dans le but contribuer à la résolution de la question kurde ; en répondant à l’appel d’Abdullah Öcalan, leader du peuple kurde, Ils espèrent contribuer à débloquer le processus politique mis à mal par l’ingérence des autorités militaires turques et par les positions des principaux partis d’opposition. A la question du juge leur demandant s’ils regrettaient leur participation aux activités au sein du PKK, les "accusés" ont répondu par la négative et ont refusé par ailleurs de bénéficier de l’application de la loi sur le repentir.
 

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